Compact qui – malgré son nom plus près du tintamarre que de l’incognito – est malheureusement passé sous les radars dans notre coin de pays, Parades est un véritable défilé pour les oreilles : fort en chœurs (puis en cœur pendant qu’on y est), en trompettes et en émotions. Après avoir livré un premier CD plus électro, le collectif post-rock de Copenhagen revient pour un second tour de piste plus chaud, plus vivant et plus organique. Entreprise quasi mégalomaniaque (même Win Butler et sa bande se demanderaient si la troupe n’ent fait pas un peu trop du côté de ses instrumentations par moments… notamment sur “Caravan”… idem pour par Tim DeLaughter et sa cabale polyphonique à l’écoute de “Illuminant”), Parades s’est enregistré sur une période de 18 mois, en compagnie d’une trentaine de musiciens (dont trois chorales) en plus d’avoir pût compté sur Darren Allison (qui a auparavant collaboré avec le groupe culte Spiritualized) pour son matriçage. Bref, la grosse classe! Bien que le galvaudage de la meute peut parfois être saturé (“Horseback Tenors” s’avère interminable), Parades demeure une œuvre qui gagne à être connue, écoutée et appréciée.
5.4.08
Efterklang – Parades
(The Leaf Label)
Compact qui – malgré son nom plus près du tintamarre que de l’incognito – est malheureusement passé sous les radars dans notre coin de pays, Parades est un véritable défilé pour les oreilles : fort en chœurs (puis en cœur pendant qu’on y est), en trompettes et en émotions. Après avoir livré un premier CD plus électro, le collectif post-rock de Copenhagen revient pour un second tour de piste plus chaud, plus vivant et plus organique. Entreprise quasi mégalomaniaque (même Win Butler et sa bande se demanderaient si la troupe n’ent fait pas un peu trop du côté de ses instrumentations par moments… notamment sur “Caravan”… idem pour par Tim DeLaughter et sa cabale polyphonique à l’écoute de “Illuminant”), Parades s’est enregistré sur une période de 18 mois, en compagnie d’une trentaine de musiciens (dont trois chorales) en plus d’avoir pût compté sur Darren Allison (qui a auparavant collaboré avec le groupe culte Spiritualized) pour son matriçage. Bref, la grosse classe! Bien que le galvaudage de la meute peut parfois être saturé (“Horseback Tenors” s’avère interminable), Parades demeure une œuvre qui gagne à être connue, écoutée et appréciée.
Compact qui – malgré son nom plus près du tintamarre que de l’incognito – est malheureusement passé sous les radars dans notre coin de pays, Parades est un véritable défilé pour les oreilles : fort en chœurs (puis en cœur pendant qu’on y est), en trompettes et en émotions. Après avoir livré un premier CD plus électro, le collectif post-rock de Copenhagen revient pour un second tour de piste plus chaud, plus vivant et plus organique. Entreprise quasi mégalomaniaque (même Win Butler et sa bande se demanderaient si la troupe n’ent fait pas un peu trop du côté de ses instrumentations par moments… notamment sur “Caravan”… idem pour par Tim DeLaughter et sa cabale polyphonique à l’écoute de “Illuminant”), Parades s’est enregistré sur une période de 18 mois, en compagnie d’une trentaine de musiciens (dont trois chorales) en plus d’avoir pût compté sur Darren Allison (qui a auparavant collaboré avec le groupe culte Spiritualized) pour son matriçage. Bref, la grosse classe! Bien que le galvaudage de la meute peut parfois être saturé (“Horseback Tenors” s’avère interminable), Parades demeure une œuvre qui gagne à être connue, écoutée et appréciée.