(indépendant/Local)
Si on retient qu'une chose de la « pop culture» à propos des Natasha, c'est qu'elles sont de sacrés flirts. Que ce soit l'hôtesse de l'air de la BD de Walthéry, la vamp slave de Lance et Compte ou cette formation pop rock basée à Montréal, les Natasha arrivent toujours à leurs fins. Malgré son titre à saveur « rock satanique», Au cocktail de la Bête est un sympathique amalgame de pièces qui balance (énergique « Ski de fond et air pur»), de chansons funky (« Ô Maman»), d'expérimentations électro (sulfureuse « Chatte(moi j'me sens)») et même de ballades pour faire larmoyer les jeunes filles (mignonne « Pas de bourrée»). Quintette devenu quatuor qui a tout d'abord fait un tabac sur les radios universitaires avec le brûlot « Esclavo del rocanrol», Natasha vient surtout prouver qu'elle n'est ni une formation de « one hit wonder», ni une fille facile en livrant un album qui, malgré quelques accrocs mineurs, est aussi constant que varié.
Si on retient qu'une chose de la « pop culture» à propos des Natasha, c'est qu'elles sont de sacrés flirts. Que ce soit l'hôtesse de l'air de la BD de Walthéry, la vamp slave de Lance et Compte ou cette formation pop rock basée à Montréal, les Natasha arrivent toujours à leurs fins. Malgré son titre à saveur « rock satanique», Au cocktail de la Bête est un sympathique amalgame de pièces qui balance (énergique « Ski de fond et air pur»), de chansons funky (« Ô Maman»), d'expérimentations électro (sulfureuse « Chatte(moi j'me sens)») et même de ballades pour faire larmoyer les jeunes filles (mignonne « Pas de bourrée»). Quintette devenu quatuor qui a tout d'abord fait un tabac sur les radios universitaires avec le brûlot « Esclavo del rocanrol», Natasha vient surtout prouver qu'elle n'est ni une formation de « one hit wonder», ni une fille facile en livrant un album qui, malgré quelques accrocs mineurs, est aussi constant que varié.